Troisième édition des journées cinématographiques d'Alger Les cinémas du Maghreb,d'Orient et du Monde à l'honneur
Les Journées cinématographiques d’Alger sont, désormais, un événement
culturel incontournable et attendu par les cinéphiles et les
professionnels car cet événement s’inscrit dans une démarche de dialogue
interculturel et réputé pour sa convivialité. Selon les organisateurs,
la troisième édition de ces journées se tiendra à partir d’aujourd’hui
et jusqu’au 19 octobre à la Cinémathèque algérienne
Les JCA permettent souvent de présenter des films auxquels le public algérois n’a pas toujours accès, des films qui ont une visée à la fois culturelle et artistique. La majorité des sujets des films venus d’Occident et d’Orient ont comme toile de fond leurs problèmes sociaux, économiques et religieux des pays d’origines, raison pour laquelle il est important de les montrer et découvrir la dimension artistique particulière de chaque film.
Avec cette troisième édition, les JCA se développent et se diversifient. La programmation met à l’honneur des thèmes engagés socialement et culturellement. Cette année plusieurs pays participent avec leurs films : Algérie, Palestine, France, Maroc, Syrie, Egypte, Tunisie, Chine, Allemagne, Belgique, Liban et Suède. La 3e édition des Journées cinématographiques d’Alger va créer une compétition nationale pour le court-métrage et une compétition internationale pour le documentaire
Les JCA permettent souvent de présenter des films auxquels le public algérois n’a pas toujours accès, des films qui ont une visée à la fois culturelle et artistique. La majorité des sujets des films venus d’Occident et d’Orient ont comme toile de fond leurs problèmes sociaux, économiques et religieux des pays d’origines, raison pour laquelle il est important de les montrer et découvrir la dimension artistique particulière de chaque film.
Avec cette troisième édition, les JCA se développent et se diversifient. La programmation met à l’honneur des thèmes engagés socialement et culturellement. Cette année plusieurs pays participent avec leurs films : Algérie, Palestine, France, Maroc, Syrie, Egypte, Tunisie, Chine, Allemagne, Belgique, Liban et Suède. La 3e édition des Journées cinématographiques d’Alger va créer une compétition nationale pour le court-métrage et une compétition internationale pour le documentaire
C’est une manière d’encourager les talents et les créateurs du
court-métrage algérien qui ne cessent de redorer le blason du cinéma
algérien à travers le monde. En attendant d’associer le long métrage à
notre aventure, nous avons décidé d’ouvrir la compétition internationale
au documentaire, dont la production est très florissante. Les JCA
seront à coup sûr une fenêtre ouverte vers le monde et surtout une porte
ouverte pour la promotion du cinéma algérien.
Pour le programme de cette nouvelle production, il y aura 40
productions dont quatre longs métrages, 15 documentaires et 21 courts
métrages, venus de France, du Maroc, de la Tunisie, d’Egypte, du Liban,
du Qatar, de Suisse, d’Allemagne, d’Espagne, du Canada, de Chine et des
Etats-Unis
Rendez-vous avec l’Histoire
Les JCA seront le 17 octobre au rendez-vous avec l’Histoire, avec le
débat sur le cinéma et la guerre de Libération avec comme invité le
scénariste Azzedine Mihoubi, le critique Mohamed Bensalah, et le
réalisateur Saïd Ould Khelifa. Le tout sous la direction d’Ahmed
Bedjaoui, principal modérateur des conférences lors des Journées
cinématographiques d’Alger. La soirée du 17 octobre sera clôturée par la
présentation en avant-première en Algérie du documentaire fiction Fidai
réalisé par le réalisateur franco-algérien, Damien Ounouri. Le film
sera suivi d’un débat avec le héros du film Mohamed El Hadi Benadouda,
un ancien moudjahid au sein de la Fédération de France du FLN
La révolution arabe sera également débattue lors de ses JCA. Le 16
octobre sous le thème : "Le cinéma arabe après la révolution", avec des
intervenants prestigieux comme la critique égyptienne, Nematallah
Hussein Hassan et la critique syrienne Lama Tayara. Le débat se
poursuivra le 17 octobre dans l’après-midi avec la projection de deux
documentaires tunisiens sur la révolution de Jasmin et deux
documentaires, l’un égyptien l’autre algérien, sur la révolution à la
place Tahrir. Les projections seront suivies d’un débat avec les
réalisateurs tunisiens, Karim Yaakoubi et Rafik Omrani, les réalisateurs
égyptiens Ahmed et Ramadan Salah et la réalisatrice algérienne Souheila
Battou
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